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L’histoire de la tau remonte bien avant l’arrivée de Christ ici-bas. Mais cela sont les Romains qui l’utilisèrent à grande échelle pour exécuter les personnes. La souffre-douleur était dépendante à la crucifix par des filets, ou ses paluches y étaient clouées, et on le laissait déchoir. Même avec la chaleur des rayons du soleil, la remorquage du corps et la deuil que la martyr avait endurée avant d’être crucifixion, il lui fallait parfois 15 jours pour finir. ce sont souvent les chrétiens qui commencèrent à utiliser une calvaire comme empreinte identitaire de la Église et toutes les fois que l’évangile est arboré, ceux qui entendent l’information et reçoivent Christ comme Sauveur viennent à Lui par la croyance, par le moyen de la calvaire.
L’ânkh, ou tau ansée, est la calvaire de vie des Égyptiens. Elle correspond au caractères qui veut dire “vie”. Elle est fréquemment présente espérance de vie dans la main des dieux. L’ânkh, marque identitaire majeur de l’Egypte ancestrale, peut être vu comme l’union des lois nautique et féminin. Déjà présente au néolithique, la tau solaire reste un marque identitaire celtique, puis un personnalité paroissien dans les atoll britanniques. C’est une classique calvaire inscrite dans un club, descendant le dieu soleil, la lumière éternelle, ou bien l’élaboration cosmique ( le centre illimité et l’univers étendu ).
Retenons une pédagogie obligatoire entre les pays de l’être et de l’Existence. Les états de l’Existence, même universelle, relèvent de la seule relent. Les états de l’être, au contraire, appartiennent tant au manifesté qu’au non manifesté. En effet, l’Être pur, Principe de la relent, est non manifesté. L’axe d’aplomb donne l’indéfinité des pays de s’avérer être ou d’Existence depuis les pays psychologiques ou élégants les plus abusifs jusqu’aux états physiques ou terrestres les plus manifestes. Cette place de métiers se répartit en trois ordres, tant au niveau du abrégé ( physique/corporel, psychique/subtil et aérien ) que du espace ( terrestre, météorologique et divine ).
pour commencer l’enfant ne peut pas être orthodoxe sans le acquiescement d’au moins un de ses deux pères et, selon le droit honnête français, la non-opposition de l’autre procréateur. Le père doit rapporter par produit sa non-opposition ou son négative. Il est à découverte que, dans la mesure où les géniteurs sont les seuls responsables légaux de leurs enfants, ils sont les seuls à pouvoir déterminer de leur bapteme. Une personne non qualifiée peut faire qualifier son enfant sous quelques conditions : il faut que le deuxième père soit protestant ou que le soutien et la parrain et marraine soient baptisés et ce, afin que l’enfant puisse être guidé dans sa aisance. pour finir, il est toujours plus complètement possible de qualifier l’enfant adopté. Il s’agira ainsi d’un communion simple si les géniteurs son quelques que l’enfant n’a pas déjà été baptisé ou bien d’un communion « à l’essai » si les géniteurs ne savent pas si l’enfant opté pour a déjà été paroissien.
La crucifix est ce qu’il y a de plus répandu : elle est présente dans tous les symboles ( effectifs, lettres, étoiles, formes géométriques ), réalisations, produits, tissus, constructions et représentations. La tau fait partie des quatre symboles fondamentaux avec le cabinet, le club et le carré : elle établit une relation entre les 3 autres. En réalité, la croix et sa signification donnent ajour au symbolisme le mieux et le plus absolu. Elle est une forme d’art commun pour tous les hommes. Pourtant, la signification poche de la crucifix s’est perdue. Or nous allons voir que la crucifix porte en elle de multiples choses de l’esprit et de cette thématique.
Si sa forme s’est élargi au cour du temps, le chrisme est constitué dès le début de l’alliance de deux lettres grecques superposées. La 1ere ressemble à un X ( chi ), alors que la seconde ressemble d’un P ( rhô ). De cette raout résulte un identité qui arrive comme une signe à six fours dont la sphère absolue aurait été ornée d’une ondulation. Plus tard, le chrisme s’est simplifié jusqu’à se transformer en classique astéroïde inscrite dans un clan : il s’agit de ce fait d’une roue à six fours branches, personnalisation de l’unité et du lien reconnu par les grandes convictions entre les vifs et le sacré. Au fait, pourquoi parle-t-on souvent de « poinçon du Christ » ? Les deux lettres qui forment le chrisme sont les premières du mot grec Khristos qui désigne fils de david. En grec ancien, le mot désigne littéralement ce qui est gothique et ce qui a récolté l’onction. Il proposera quantième au terme christus en latin, qui donnera à son tour Christ en français contemporaine. Dans l’est de l’Europe, le chrisme est souvent représenté sur une sortie enrichie des deux lettres dieu ( 1ere et dernière lettre de l’alphabet attique ) qui représentent le commencement et la fin. On comprend ainsi pourquoi le chrisme est un personnalité paroissien de premier plan : sa présence convoque directement celle du Christ et confère un vertu à celui ou ce que le porte.
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